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Récit psychédélique, qui tend à montrer les séquelles de l'héroïne sur le cerveau.
« De même que Jérôme Bosch représentait les détails les plus effroyables et les plus diaboliques avec une infinie délicatesse et un humour à la Puck qui nous évoquent les châteaux de l'horreur dont l'Enfer est peuplé, de même Burroughs nous laisse avec la vision intime, détaillée de ce que pourrait être l'Enfer, un Enfer qui peut-être nous attend, produit final et apogée de la révolution. Au bout de la médecine est la drogue, au bout de la vie est la mort, au bout de l'homme est peut-être l'Enfer qui nous vient des vanités de l'esprit. La galerie de monstres, génies à demi fous, infirmes, charlatans, criminels, pervers et bêtes en putréfaction de l'oeuvre de William S. Burroughs déploie, comme nulle part ailleurs, la panoplie moderne des vanités de l'esprit humain, des excès malfaisants qui apparaissent quand l'idée de puissance personnelle ou intellectuelle est placée au-dessus des compassions de la chair. »
Norman Mailer.