couverture

En vivant, en écrivant

Dillard, Annie

  • Éditeur : Bourgois
  • Collection : Titres
  • ISBN 9782267030037
  • Paru le 15 mai 2017
  • 14,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Une réflexion sur le travail de l'écrivain, les raisons épistémologiques et secrètes qui le font écrire, les conditions d'exercice de ce métier, le pouvoir des mots, la magie du langage et l'art de la lecture, indissociable de celui de l'écriture.

Biographie de l'auteur.e

Annie Dillard est née en 1945 à Pittsburgh. Après des études de littérature, elle épouse son professeur, le poète R. H. Dillard.
Elle effectue une thèse sur Walden de Thoreau, puis se consacre à la peinture et publie des poèmes et des nouvelles. En 1971, suite à une pneumonie qui a failli lui coûter la vie, elle décide de s'isoler à Tinker Creek, au coeur des montagnes. Après un an d'écriture quotidienne intense, elle publie Pèlerinage à Tinker Creek (prix Pulitzer 1975). Si elle est plus connue pour ses récits, dont Une enfance américaine qui relate son enfance en Pennsylvanie, Annie Dillard a également publié des essais, des poèmes, de la critique littéraire et des romans, la nature étant sa principale source d'inspiration.

Quatrième de couverture

« Pourquoi lisons-nous sinon dans l'espoir d'une beauté mise à nu, d'une vie plus dense et d'un coup de sonde dans son mystère le plus profond ?

Pourquoi lisons-nous sinon dans l'espoir que l'écrivain rendra nos journées plus vastes et plus intenses, qu'il nous illuminera, nous inspirera sagesse et courage, nous offrira la possibilité d'une plénitude de sens, et qu'il présentera à nos esprits les mystères les plus profonds, pour nous faire sentir de nouveau leur majesté et leur pouvoir ? Encore et toujours nous avons besoin d'éveil. Nous devrions nous rassembler en de longues rangées, à demi vêtus, tels les membres d'une tribu, et nous agiter des calebasses au visage, pour nous réveiller ; à la place, nous regardons la télévision et ratons le spectacle. »
Annie Dillard

« Le petit livre de cette intellectuelle américaine est de ceux qui rendent plus intelligent et apaisent le coeur. »
Geneviève Brisac, Le Monde