couverture

Douce indifférence du monde (La)

Stamm, Peter

  • Éditeur : Bourgois
  • Collection : Littérature étrangère
  • 144 pages
  • ISBN 9782267030877
  • Paru le 24 septembre 2018
  • 29,95 $ *
  • Littérature étrangère

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Résumé

Un homme donne rendez-vous à une femme prénommée Lena dans le grand cimetière de Stockholm. Cette femme est une inconnue, mais elle rappelle intensément au narrateur la jeune femme dont il a été très amoureux il y a une vingtaine d’années. Cette dernière s’appelait Magdalena, était comédienne, elle aussi avait joué Strindberg. Après leur rupture, le narrateur a écrit un livre sur les trois années qu’ils ont vécues ensemble et il veut donner les détails à l’inconnue de Stockholm.Ce récit de Peter Stamm ciselé en 37 petits chapitres, dont le titre rappelle « la tendre indifférence du monde » évoquée par Albert Camus à la fin de L’Étranger, est d’une vertigineuse intelligence.Peter Stamm décrit avec des mots simples, étudiés, ce moment de tourbillon fondamental où le sens de notre identité vacille, un théâtre de l’intime où le trouble règne.

Biographie de l'auteur.e

Peter Stamm est né en Suisse en 1963. Après des études de commerce, il a étudié l’anglais, la psychologie, la psychopathologie et l’informatique comptable. Depuis 1990, il est journaliste et écrivain. Il a obtenu en 1998 le Rauriser Literaturpreis pour son premier roman, Agnès. En 2018, il obtient le Prix suisse du livre pour La Douce indifférence du monde (Bourgois, 2018). Il vit actuellement à Winterthur.

Quatrième de couverture

Un homme donne rendez-vous à une femme prénommée Lena dans le grand cimetière de Stockholm. Cette femme est une inconnue, mais elle rappelle intensément au narrateur la jeune femme dont il a été très amoureux il y a une vingtaine d’années. Cette dernière s’appelait Magdalena, était comédienne, elle aussi avait joué Strindberg. Après leur rupture, le narrateur a écrit un livre sur les trois années qu’ils ont vécues ensemble et il veut donner les détails à l’inconnue de Stockholm.Ce récit de Peter Stamm ciselé en 37 petits chapitres, dont le titre rappelle « la tendre indifférence du monde » évoquée par Albert Camus à la fin de L’Étranger, est d’une vertigineuse intelligence.Peter Stamm décrit avec des mots simples, étudiés, ce moment de tourbillon fondamental où le sens de notre identité vacille, un théâtre de l’intime où le trouble règne.