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Pourquoi un village d’immigrants sédentaires, prolixes et conservateurs a lancé un festival consacré au malambo, la danse la plus emblématique des gauchos, qui étaient, en principe, des nomades belliqueux ne reconnaissant pas l’autorité. Simple défi rustique à l’origine, cette danse strictement masculine s’est transformée au xxe siècle en une chorégraphie dont l’exécution dure deux à cinq minutes. Une danse, accompagnée par une guitare et une grosse caisse, qui est un défi entre des gauchos essayant de se surpasser en résistance et en habileté.« Leila Guerriero écrit avec l’intensité de qui raconte l’histoire la plus importante. On est pris jusqu’à la fin dans cette histoire, qui n’est pas simple mais formidable. »Diego Zúñiga, Qué pasa« Leila Guerriero nous parle, depuis une Amérique latine stéréotypée, de la solitude la plus intime, celle du moment précédant l’action qui peut changer le cours d’une vie. »Télam« Lecteurs de Leila Guerriero, nous retrouvons dans Une histoire simple le meilleur de son répertoire comme chroniqueuse, elle commence par nous dévoiler un secret, elle nous présente ensuite les gardiens de ce secret et, finalement, elle nous démontre que ce secret – comme la lettre d’Allan Poe – a toujours été à notre portée. »El Mercurio
Née en 1967 à Junín, dans la province de Buenos Aires, en Argentine, Leila Guerriero commence sa carrière de journaliste en 1991. En 2011, elle rédige l’édition de Los Malditos (Editorial Universidad Diego Portales, Santiago, Chili), dix-sept portraits d’écrivains maudits latino-américains. Elle réalise fréquemment des travaux d’édition pour cette maison. Depuis janvier 2014, elle est rédactrice au journal espagnol El País. En 2014, elle reçoit le prix Konex dans la catégorie « Chroniques et témoignages ».
Pourquoi un village d’immigrants sédentaires, prolixes et conservateurs a lancé un festival consacré au malambo, la danse la plus emblématique des gauchos, qui étaient, en principe, des nomades belliqueux ne reconnaissant pas l’autorité. Simple défi rustique à l’origine, cette danse strictement masculine s’est transformée au xxe siècle en une chorégraphie dont l’exécution dure deux à cinq minutes. Une danse, accompagnée par une guitare et une grosse caisse, qui est un défi entre des gauchos essayant de se surpasser en résistance et en habileté.« Leila Guerriero écrit avec l’intensité de qui raconte l’histoire la plus importante. On est pris jusqu’à la fin dans cette histoire, qui n’est pas simple mais formidable. »Diego Zúñiga, Qué pasa« Leila Guerriero nous parle, depuis une Amérique latine stéréotypée, de la solitude la plus intime, celle du moment précédant l’action qui peut changer le cours d’une vie. »Télam« Lecteurs de Leila Guerriero, nous retrouvons dans Une histoire simple le meilleur de son répertoire comme chroniqueuse, elle commence par nous dévoiler un secret, elle nous présente ensuite les gardiens de ce secret et, finalement, elle nous démontre que ce secret – comme la lettre d’Allan Poe – a toujours été à notre portée. »El Mercurio