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Une biographie romancée du peintre français, unique par bien des aspects. Issu de la haute noblesse de province, il est atteint d'une maladie génétique qui interrompt sa croissance. Il disparaît à 36 ans laissant derrière lui une oeuvre foisonnante où il représente l'humain, libéré de son costume social, au cabaret, au cirque ou encore au bordel. Prix Grands destins 2019.
Matthieu Mégevand est écrivain. Il a publié entre autres Ce qu'il reste des mots (Fayard, 2013), Les Lueurs (L'Âge d'homme, 2016) et La Bonne Vie (Flammarion, 2018).
Lautrec
Lautrec, c'est la légende de Montmartre, le peintre du Moulin Rouge. Mais c'est aussi un petit homme foutraque, issu d'une famille de la haute noblesse de province, atteint d'une maladie génétique qui interrompt sa croissance. Fasciné par les cabarets, les théâtres et les prostituées, il peindra des hommes et des femmes toute sa vie. Alcoolique, rongé par la syphilis, il meurt à trente-six ans en laissant une oeuvre foisonnante et inclassable.
En mettant en scène l'obsession d'Henri de Toulouse- Lautrec pour la peinture, celle qui montre les êtres humains dans ce qu'ils ont de plus brut et de plus vivant, Matthieu Mégevand s'éloigne des représentations habituelles pour dresser le portrait de l'artiste en voyant, et de l'homme en possédé.