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Un Libanais spécialiste de l'archéologie orientale se rend dans le nord de l'Irak pour expertiser des pièces antiques. Invité par le mystérieux général Ghadban, il est reçu dans une oasis au milieu du désert occupé par des militaires, un lieu cerné à la fois par les forces kurdes et par les djihadistes de Daech.
Né en 1960 au Liban, où il vit, Charif Majdalani est professeur de littérature contemporaine à l'université Saint-Joseph de Beyrouth.
Écrivain, il est l'auteur de sept romans parus aux éditions du Seuil, dont Histoire de la grande maison (2005), Villa des femmes (2015, prix Jean Giono) et L'Empereur à pied (2017). Chez Actes Sud, il a publié Beyrouth 2020. Journal d'un effondrement, qui a reçu le prix spécial du jury Femina.
Un spécialiste libanais de l'archéologie orientale est invité dans le Nord de l'Irak par un certain général Ghadban à expertiser diverses pièces antiques. Il est reçu au milieu de plantations qui sont comme une oasis dans le désert, un îlot hors du temps, où il attend son mystérieux hôte en méditant sur la splendeur des paysages et sur l'origine des pièces qu'il soupçonne d'être liées à un important trafic d'art. Mais en ce début d'été 2014, à la veille du déferlement de violence en Irak, ce lieu d'apparence si paisible, occupé par l'atypique brigade du général Ghadban, entouré d'un côté par les forces kurdes et de l'autre par les djihadistes de Daech, se retrouve aux avant-postes de grands bouleversements - autant dire que sa sereine beauté est digne du calme qui précède la tempête.
Sur les trésors à jamais perdus et sur la marche erratique de l'Histoire, Charif Majdalani signe un singulier roman d'aventures, aussi contemplatif et nostalgique que captivant, qui confronte le vain fracas humain à la bouleversante puissance de l'art et à l'immuable indifférence de la nature.