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Octobre 1925. Jeune artiste noire issue des quartiers pauvres du Missouri où sévit encore la ségrégation raciale, J. Baker brûle les planches du Paris des Années folles, dansant très peu vêtue avec exubérance. Mais derrière les plumes et les paillettes se cache une force de caractère peu commune qui se bat pour se libérer des carcans liés à la couleur de peau et au sexe.
Ceux qui ont dit non . Des romans historiques . - Christina, j'ai parfois l'impression que les gens mettent toutes les danseuses dans le même sac : des écervelées superficielles. (...) Le film que je vais tourner, Zouzou, à la fin, je n'épouse pas le Blanc. À cause de la couleur de ma peau. J'aurais dû épouser le héros, Gabin. Ça m'énerve ! Ça fait bientôt dix ans que je suis en France. J'ai porté tant de masques, celui du clown fait rire, l'exotique sous les palmiers distrait et amuse, l'innocente charme, la séductrice fascine, la mante religieuse fait trembler. J'ai été fière de retourner toutes ces images pour m'en servir et en rire, je me suis vite débarrassée de la ceinture de bananes, mais je ne suis pas dupe, je reste une femme et noire. - Une femme noire mais... adulée, sourit Christina.