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Une étude sur les origines de la musique minimaliste, née aux Etats-Unis au milieu des années 1960. L'auteur décrit l'inventivité de la scène musicale new-yorkaise des années 1960 et 1970, l'influence de cette esthétique sur les arts plastiques, les lieux de leur représentation (galeries, lofts, cinémas, etc.) et présente les principales oeuvres et tendances ainsi que leur réception en Europe.
À l'heure où le mot « minimalisme » est devenu galvaudé, le présent livre revient, pour la première fois en langue française, sur l'acception originelle du terme et sur les diverses composantes de cette tendance artistique née aux États-Unis, à l'orée des années 1960, qui a durablement marqué les arts plastiques et la musique au point de constituer une indéniable révolution esthétique.. En plongeant le lecteur dans la New York downtown des années 1960 et 1970, l'auteur décrit l'extraordinaire inventivité d'une scène artistique où se mêlaient les plasticiens d'art minimal et les compositeurs minimalistes (dont ses représentants principaux La Monte Young, Terry Riley, Philip Glass et Steve Reich), dans les lofts, les salles de cinéma ou de théâtre et les galeries d'art du quartier.. Cet essai, avant tout dévolu à la musique, s'arrête sur des oeuvres essentielles - dont les fameux In C (1964), de Terry Riley, et Einstein on the Beach, de Philip Glass et Bob Wilson, créé au Festival d'Avignon en 1976 - et des tendances emblématiques de cette esthétique, mais parcourt également ses nombreuses ramifications en Europe, ses liens avec la musique populaire et son utilisation dans la musique pour les écrans de cinéma et de télévision..