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Un personnage entre dans une ville qui lui est inconnue et tente de trouver une respiration, une aventure ou n'importe quoi pour ne pas se perdre. Le second monologue est celui d'un écrivain s'adressant à lui-même.
Hugo Fréjabise est auteur et metteur en scène. Français d'origine, il vit, marche et crée à Montréal. Il fonde le collectif Dire, encore en 2018 avec lequel il crée En descendant de Babel puis Darwin avait raison. En 2019, il écrit et met en scène Georges à terre puis Tu es Nora. En 2020, sa pièce Le théorème d'Euclide (une polémique) est mise en scène par Solène Paré au Monument National de Montréal.
L'espoir des chiens suivi de La pluie ne met pas à son avantage
On est au théâtre et ça se passe comme si on avait une pensée fulgurante en tête. Ou un cauchemar. Le personnage trace une seule longue phrase qui essaye de ne pas se perdre dans les rues trop droites. Il essaye de trouver une respiration. Un souffle. Nouveau ou ancien. Il tente quelque chose, on pourrait dire : une aventure.
Le personnage entre dans une ville qu'il ne connaît pas. Les plus grands voyages sont urbains et l'excès de lumière électrique est plus obscur que les forêts de Brocéliande.
L'employé de bureau du roman dit : « On ne peut pas se retrouver sans se perdre. La seule façon sûre de ne pas se trouver c'est de ne pas savoir qu'on est perdu. »