couverture

Algérie c'est beau comme l'Amérique

Burton, Olivia

  • Éditeur : Steinkis éditions
  • 173 pages
  • ISBN 9782368465417
  • Paru le 5 janvier 2022
  • 41,95 $ *
  • BD

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Résumé

Olivia, petite-fille de pieds-noirs, se rend en Algérie, dix ans après le décès de sa grand-mère, avec un dossier rempli des souvenirs qu'elle lui a légués, afin de se confronter à son héritage familial. Elle part seule, avec dans ses bagages le numéro de téléphone d'un contact sur place, un certain Djaffar.

Biographie de l'auteur.e

Après une agrégation de lettres modernes, Olivia Burton se dirige vers le théâtre. Assistante à la mise en scène, puis dramaturge, adaptatrice et conseillère artistique, elle collabore avec différentes compagnies.
En 2017, elle adapte et met en scène La Romancière et l'Archéologue d'Agatha Christie, une lecture dessinée, au Louvre-Lens. En parallèle, elle mène un travail d'autrice pour le documentaire (tes Mains bleues, 2002, Contre-jour, 2006) et la bande dessinée (Chair de poule, illustrations Delphine Guichard, 2005, et avec Mahi Grand, Le Testament d'Aimé, 2005, L'Algérie c'est beau comme l'Amérique, Steinkis, 2015 et Un Anglais dans mon arbre, Denoël Graphic, 2019).

En 1996, diplôme des Arts décoratifs en poche, Mahi Grand devient scénographe pour le théâtre. Il décore et habille les spectacles de Laurent Rogero, Julia Vidit, Thierry Thieu Niang ou Olivia Grandville.
Puis il s'oriente vers le cinéma, où il travaille pour des réalisateurs tels que Bruno Dumont, Noémie Lvovsky, Roschdy Zem ou Xavier Giannoli. Il développe en parallèle son travail de plasticien, comme sculpteur, peintre, dessinateur. Il a pu goûter aux joies de l'édition avec Les Bons conseils du professeur Corbiniou de Pierre Desproges (1998), Le Testament d'Aimé (2005), L'Algérie c'est beau comme l'Amérique (Steinkis, 2015) et Un Anglais dans mon arbre (Denoël Graphic, 2019) avec Olivia Burton.

Quatrième de couverture

L'Algérie, j'en entends parler depuis toujours dans ma famille pied-noir.

Alors j'ai décidé d'aller voir. Je pars seule, avec dans mes bagages des questions épineuses sur une guerre que je n'ai pas vécue, et le numéro de téléphone d'un contact sur place : un certain Djaffar...