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Arrivée à la fin de sa vie, M. Duras évoque ses souvenirs, ses joies, ses peines, ses combats et ses espoirs. O. Alberti fait parler l'écrivaine et rend hommage à une femme passionnée, mue par son désir pour un homme, pour la vie et pour la littérature.
Marguerite Duras, une jouissance à en mourir . Vingt-deux ans après une lecture transie de Moderato cantabile, Olympia Alberti reçoit un coup de fil de Marguerite Duras. Leur rencontre débouche sur une longue amitié.. « C'est elle qui parle, mais c'est moi qui écris » : se mettre dans la peau de Marguerite Duras, c'est pour l'auteur un défi, une joie et la chance de combler une dette de gratitude.. Lors d'une longue journée d'automne, dans son appartement de la rue Saint-Benoît, Marguerite revoit toute sa vie, des instants fondateurs aux tragédies, s'acheminant, au fil des souvenirs et des introspections, vers une grâce emplie d'amour et d'espoir.. Ce récit romancé nous fait découvrir à quel point Duras a pu être « exténuée de désir », pour un homme, pour l'écriture ou tout simplement pour la vie. Une multitude de questions enfouies dans la jouissance se démêlent ainsi à travers l'écriture. L'hommage d'Olympia Alberti à celle qui fut à la fois son amie et l'une des grandes figures littéraires du XXe siècle constitue un récit unique..