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Au terme de sa vie, en 1977, M. Callas évoque ses souvenirs, regarde des photographies de ses rôles, écoute à nouveau ses disques, avant de mourir, le 16 septembre. L'auteur imagine une autobiographie de la diva, sous la forme d'un testament, en décrivant des passages de son parcours artistique et de sa vie amoureuse.
Dans la peau de Maria Callas . 1er septembre 1977. Maria Callas est chez elle, dans son grand appartement parisien de l'avenue Georges-Mandel, seule. Rideaux tirés, elle regarde les photos de ses rôles, réécoute ses disques et se souvient de sa vie.. Elle disparaît le 16 septembre au matin. On a dit que le grand air de Tosca, Vissi d'arte, vissi d'amore (« J'ai vécu d'art, j'ai vécu d'amour »), résumait toute son existence : elle a vécu d'art, c'est certain, mais d'amour ?. Dans ce récit émouvant en forme de journal imaginaire, Alain Duault revit les deux dernières semaines de la diva. Il se glisse dans sa peau comme dans ses rôles, explore son existence flamboyante et douloureuse passée aux côtés de personnalités qui, chacune à sa manière, partagèrent sa vie, tels Luchino Visconti ou Aristote Onassis.. Des vivas sur les plus grandes scènes d'opéra du monde aux turpitudes de sa vie amoureuse, Maria Callas dévoile ainsi, dans ce qui pourrait être son testament, une partie de ses mystères et de ses ombres..