* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
L'auteure relate les combats des femmes de sa famille pour l'indépendance et l'émancipation, que ce soit à Berlin, Paris, Saint-Pétersbourg ou encore Riga. Apatrides originaires de Russie, certaines d'entre elles ont subi les trois révolutions russes, fui le bolchévisme, combattu le régime tsariste ou milité en faveur du droit de mourir ou de procréer.
Davaï ! . Une lignée d'insoumises russes, juives et apatrides . « Si on ne naît pas femme libre, on peut le devenir, mais c'est beaucoup plus facile quand on nous a tracé le chemin. » . Des rives de la majestueuse Néva baignant Saint-Pétersbourg à la modeste Huveaune qui se faufile jusqu'à la côte marseillaise, en passant par Riga, Berlin et Paris, Lola Miesseroff suit le cours de sa lignée maternelle du XIXe siècle à nos jours. Des femmes qui ont bataillé contre le régime tsariste, vécu les trois révolutions russes, dû fuir le bolchévisme, connu les grèves du Front populaire, la guerre, Mai 68, triché avec l'état civil et la loi, pratiqué « le nudisme révolutionnaire » et milité pour la liberté d'aimer, de procréer et de mourir à sa guise.. Une lignée d'insoumises russes, juives et apatrides mais d'abord citoyennes du monde, tour à tour frondeuses, révolutionnaires, résistantes, féministes, amantes libres, épouses courageuses, cheffes de tribu généreuses et altruistes mais aussi de sacrées emmerdeuses.. Après avoir fait parler les francs-tireurs des années 68 dans son Voyage en outre-gauche (Libertalia, 2018) et donné ses « recettes de liberté » dans Fille à pédés (Libertalia, 2019), Lola Miesseroff nous livre à présent les clés de son seul héritage : l'indépendance et le combat obstiné pour l'émancipation de toutes et de tous..
