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Dans cet essai rédigé pendant le confinement lié à la Covid-19, l'auteur montre l'importance de la douceur et du collectif dans une société contemporaine qui valorise habituellement l'individualisme. Il se base notamment sur ses lectures, des poètes chrétiens à Peter Wohlleben, et sur ses expériences personnelles.
Jean-Claude Guillebaud est essayiste et journaliste, chroniqueur à La Vie et à Sud Ouest. Il partage sa vie entre Paris et la Charente, l'écriture et les voyages.Il est notamment auteur à L'Iconoclaste de Une autre vie est possible (2012), Je n'ai plus peur (2014), La foi qui reste (2017), Sauver la beauté du monde (2019).Avec ce livre, il poursuit sa ligne d'essais intimes et engagés.
Jean-Claude Guillebaud est un témoin capital. Grand reporter, il a arpenté le monde et les guerres du dernier demi-siècle. Lecteur passionné, familier des intellectuels et des poètes, il construit une oeuvre salutaire. À chaque livre, il s'épure, comme concentré sur l'essentiel.
Quand un virus survient, la société craque et se révèle fragile, menacée par les inégalités, la violence, les illusions d'une époque qui a érigé l'individu en alpha et oméga de tout. À rebours des professeurs d'apocalypse, ce livre est un manifeste d'espérance : la douceur peut devenir une arme de combat et l'entraide briser la loi du plus fort. Un essai lumineux pour les temps obscurs, qui fait appel au meilleur de nous-mêmes.