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Un essai qui suppose la thèse d'une volonté politique de crise climatique. L'auteur avance que les engagements de façade cachent un jeu duquel sortent gagnants de nombreux acteurs économiques, politiques et sociaux. Il appelle à penser les conditions d'une révolution en faveur d'un écosocialisme.
Le coup d'État climatique . Il n'y a pas de crise climatique. Il y a un crime climatique. Telle est la thèse défendue par Mark Alizart dans cet ouvrage brillant et provocateur. Quand des États ne laissent pas seulement brûler leurs forêts, mais appellent à y mettre le feu ; quand ils ne se contentent pas d'ignorer l'accord de Paris, mais le déchirent en public ; quand ils ne se bornent pas à douter des scientifiques mais les intimident : on peut affirmer qu'ils font tout pour que la planète soit détruite. Car la crise climatique produit ses gagnants - des individus pariant sur l'effondrement du monde comme sur des valeurs boursières à la baisse. Face à ce véritable coup « carbofasciste » ourdi contre l'humanité, modifier nos comportements individuels ne suffit pas. Il est nécessaire de repenser les conditions d'une révolution en faveur d'un véritable « écosocialisme »..