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Entre 1960 et 1982, le cinéma de genre vit un âge de prospérité et de liberté au cours duquel la musique acquiert un rôle essentiel. Réalisateurs et compositeurs travaillent de concert à des oeuvres sans concessions dont les partitions soulignent le caractère inventif. Cent bandes originales sont ici explorées, parmi lesquelles celles composées pour Le bon, la brute et le truand ou Star Wars.
Entre la sortie de Psychose (1960), qui pave la voie pour tant d'autres, et celle de Blade Runner (1982), parangon d'une symbiose entre image et son, le cinéma de genre vit un âge de prospérité au cours duquel la musique va acquérir un rôle essentiel dans l'élaboration des films. Pendant deux décennies, réalisateurs et compositeurs vont travailler de concert à des oeuvres aventureuses, dont les partitions souligneront le caractère inventif et bien souvent contestataire ; parfois avec les moyens du bord, parfois aussi avec des budgets démesurés, mais toujours dans le but d'offrir une expérience forte et singulière. Dans cet ouvrage, Ludovic Villard traverse entre autres le cinéma du Nouvel Hollywood, les gialli italiens, les yakusa eigas japonais, les westerns spaghettis, les films de science-fiction et les métrages horrifiques, et revient sur 100 bandes originales parmi lesquelles celles composées par Lalo Schifrin (Bullitt), Ennio Morricone (La Rançon de la peur), Isaac Hayes (Shaft), François de Roubaix (Le Samouraï) ou encore John Carpenter (Assaut) et Tangerine Dream (Sorcerer)..