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« Mais c’est l’Atlantide ! », s’exclame un brin provocateur Jacques Collina Girard à la vue d’un relief sous-marin sur une carte marine du détroit de Gibraltar. Ainsi débute une enquête extraordinaire qui l’amènera à retracer l’histoire d’un monde disparu. Celle d’un archipel ayant sombré il y a 12 000 ans sous la montée des eaux provoquée par la fonte des glaces. Un séisme et un tsunami d’une ampleur exceptionnelle auraient parachevé sa submersion. Simple coïncidence ? Le récit de Platon sur l’Atlantide, pourtant réputé imaginaire, situe le scénario de cette disparition au même endroit et à la même date, constate l’auteur. Tradition orale venue d’Égypte, couchée par écrit pour la première fois par le philosophe grec, le mythe de l’île brutalement engloutie par l’océan recèlerait-il un fond de vérité ? Est-il alors possible que la mémoire d’événements catastrophiques survenus 12 000 ans avant nous ait pu se transmettre pendant des millénaires ?
Jacques Collina-Girard, géologue et préhistorien, est maître de conférences à l'Université de Provence (Aix-Marseille I). Spécialiste de géologie sous-marine, il a obtenu la médaille de bronze du CNRS pour ses travaux sur la grotte Cosquer au large de Marseille.
L’histoire étonnante d’une île engloutie devant le détroit de Gibraltar !« Mais c’est l’Atlantide ! », s’exclame un brin provocateur Jacques Collina-Girard à la vue d’un relief sous-marin sur une carte marine du détroit de Gibraltar. Ainsi débute une enquête extraordinaire qui l’amènera à retracer l’histoire d’un monde disparu. Celle d’un archipel ayant sombré il y a 12 000 ans sous la montée des eaux provoquée par la fonte des glaces. Un séisme et un tsunami d’une ampleur exceptionnelle auraient parachevé sa submersion.Simple coïncidence ? Le récit de Platon sur l’Atlantide, pourtant réputé imaginaire, situe le scénario de cette disparition au même endroit et à la même date, constate l’auteur. Tradition orale venue d’Égypte, couchée par écrit pour la première fois par le philosophe grec, le mythe de l’île brutalement engloutie par l’océan recèlerait-il un fond de vérité ? Est-il alors possible que la mémoire d’événements catastrophiques survenus 12 000 ans avant nous ait pu se transmettre pendant des millénaires ?