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Un récit décrivant avec autodérision la grande parade de l'école. Elèves, instituteurs, directeurs, parents sont l'objet d'anecdotes sur le milieu scolaire.
L'école maternelle, c'est bien fini. Place à l'élémentaire, la bien nommée « grande école », celle où l'on a tous appris à lire pour enfin déchiffrer tous ces signes qui jalonnent notre quotidien. . C'est aussi la fin d'une certaine connivence avec le père de ma fille, quand on épélait devant elle les mots interdits. « Tu ne lui achètes pas de b-o-n-b-o-n aujourd'hui. » . Ou encore : . « Tu n'es qu'un pauvre c-o-n. » . Désormais mon enfant saura tout, même la façon dont je traite son géniteur. Il fallait s'y attendre. . Dans un récit d'une mauvaise foi tout à fait assumée, l'auteur décrit avec beaucoup de finesse et d'autodérision son parcours de jeune maman à l'école primaire. Entre deux anecdotes tantôt mordantes tantôt tendres, elle prend le temps de dire tout haut les mille et une mesquineries qui hantent les pensées des parents d'élèves. Les enfants, les instituteurs, les directeurs, les parents, personne ne trouve grâce à ses yeux, pas même sa propre fille.... Journal d'une maman d'élève malhonnête et énervée est un petit plaidoyer salutaire contre le triomphe du politiquement correct en milieu scolaire..