* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Aujourd'hui, les marchés laissent la place aux réseaux, les biens aux services, etc. L'ouvrage retrace la genèse de cette transformation, montre que les nouveaux géants de l'économie mondiale ne cherchent plus à vendre leurs produits, mais à faire adhérer les consommateurs à l'imaginaire de leurs marques. Une alerte sur les dérives et les dangers que porte en germe cette évolution.
Longtemps, le capitalisme s'est identifié à la propriété: le marché est d'abord ce lieu où nous échangeons les biens que nous possédons et ceux que nous désirons acquérir. Aujourd'hui, l'explosion des technologies de l'information et de la communication est à l'origine d'une mutation sans précédent: les marchés laissent la place aux réseaux, les biens aux services, les vendeurs aux prestataires et les acheteurs aux utilisateurs. Dans cet ouvrage passionnant, Jeremy Rifkin montre que les nouveaux géants de l'économie mondiale ne cherchent plus seulement à nous vendre des produits, mais à nous faire adhérer à l'imaginaire de leurs marques, à nous regrouper en clubs et à nous faire partager des émotions communes. Et Internet ne fait qu'accélérer la dématérialisation de l'économie, obligeant chacun à être «connecté» s'il veut accéder aux loisirs, à la culture et au savoir.. Nos existences sont déjà aux mains des professionnels du marketing qui traquent nos habitudes et nos modes de vie. Dans un monde où chacun devra acquitter un droit d'accès à sa propre vie, quelle place restera-t-il aux relations humaines et à la culture?. «Comme à l'habitude, l'apport factuel sur le sujet traité est inégalable.». Le Monde diplomatique . «Son livre n'est pas un pavé de plus parmi les trop nombreux ouvrages parus sur la netéconomie, mais une réflexion philosophique sur la société de communication que symbolise Internet.». Le Nouvel Économiste . En couverture: circuit intégré © Michael W. Davidson / Photoresearchers / BSIP..