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Le séisme, qui a ravagé Haïti en janvier 2010, a révélé l'impuissance de son administration à gérer le désastre humain et écologique. L'ouvrage apporte un éclairage sur les fondations de la société haïtienne, mais également sur la portée universelle de cette catastrophe. Il interroge les pouvoirs publics internationaux et leur stratégie de gestion des risques.
Le 12 janvier 2010, un séisme majeur ravage Haïti. Cet ouvrage apporte un éclairage nouveau à toute une série d'interrogations : comment s'est fait le traitement de la masse soudaine de morts ? Quels changements culturels se sont alors produits par rapport aux morts ? Quelle conception de la terre et de l'environnement a révélé ce désastre ? Comment comprendre la vulnérabilité extrême de la population de Port-au-Prince face aux catastrophes naturelles ? Quelle est l'orientation prise pour la reconstruction du pays et à quels défis est-il confronté ?. Les sciences sociales proposent des réponses sur une base résolument interdisciplinaire à ces interrogations. Les contributions présentées invitent justement à penser la liaison entre catastrophe naturelle et catastrophe politique, autant que les modifications survenues à l'heure de la mondialisation dans les rapports entre l'État et la communauté internationale. La problématique de l'environnement et de ses dérèglements naturels et artificiels est au coeur de la réflexion..