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Un bilan des actions qui ont pu être menées après le sommet de la Terre en 1992, conférence qui avait réuni plus de 110 chefs d'Etat, accompagné de propositions relevant, notamment, l'importance prise par la société civile dans la lutte pour la protection de l'environnement.
Le sommet international de «Rio + 20», en juin 2012, devait être marqué d'une pierre blanche, vingt ans après le Sommet de la Terre à Rio de Janeiro, qui avait vu la naissance du terme de «développement durable». Il n'en fut rien. Le grand raout international ne déboucha que sur une déclaration vague et décevante.. Mais cet échec est celui de la gouvernance internationale et non celui du développement durable.. Le WorldWatch Institute, principal think tank américain en la matière, a dressé juste avant le sommet une esquisse de programme pour les années à venir et avancé des propositions sur lesquelles travailler avant et après la conférence. Malgré donc l'échec des négociations, ce programme reste valide.. Il s'agit d'un ensemble de réflexions et d'outils intellectuels novateurs. Car la transition vers une planète durable ne dépend pas seulement des décisions prises - ou non - lors des conférences internationales, mais aussi de l'innovation, de l'énergie et de l'engagement de chacun au sein de nos sociétés en perpétuelle évolution.. Ce livre présente donc des suggestions pour une action mesurable vers plus d'emplois verts, une alimentation plus saine, une énergie plus durable, une eau plus pure, des océans vivants, des villes florissantes et de moins en moins de désastres perturbateurs. Bref, vers une prospérité partagée qui puisse durer sur les siècles à venir..