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Deux petits traités inspirés de la morale antique, de Montaigne et de Pascal, pour combattre l'idée de désenchantement.
De l'amitié . « Le monde nous dérobe à nous-mêmes, et la solitude nous y rend. Le monde n'est qu'une troupe de fugitifs d'eux-mêmes. » Pour combattre cette idée désenchantée, la marquise de Lambert (1647-1733) s'exprima d'abord oralement dans son salon de l'hôtel de Nevers à Paris, puis dans divers petits traités, inspirés de la morale antique (Cicéron, Sénèque), de Montaigne, de Pascal et de Fénelon. Son esprit, dépourvu de préjugés, sa culture, son art de la formule firent de cette savante mondaine un mythe dans le Paris littéraire du XVIIe siècle.. Parues d'abord sous le manteau, puis officiellement, les oeuvres de Mme de Lambert connurent une grande vogue entre le milieu du XVIIIe siècle et la fin du XIXe siècle. Fontenelle, Montesquieu, Marivaux, Voltaire, Leopardi, Louise Colet, Sainte-Beuve en vantèrent les mérites..