couverture

Guerre mondiale (La)

Serres, Michel

  • Éditeur : Le Pommier
  • Collection : Poche
  • 192 pages
  • ISBN 9782746505254
  • Paru le 4 avril 2011
  • 12,95 $ *
  • Philosophie

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Résumé

Les tueries sauvages qui ravagent, depuis des millénaires, les populations humaines se divisent en deux types : celles dont des lois, admises de tous, règlent les opérations, voilà justement les guerres ; et celles qui se propagent sans règle ni loi : violence aveugle ou terrorisme. Ou nous obéissons à un droit, même dans l’affrontement, ou nous laissons notre violence croître, sans frein, jusqu’à l’éradication. Disparaître de la terre : sans droit, nous nous exposons à ce danger majeur. Nous avons vécu deux guerres mondiales. Celle que nous livrons au monde : aux vivants, à l’air, à l’eau, à la terre elle-même… ne mérite-t-elle pas mieux un tel nom ? Quand le bateau menace de faire naufrage, l’équipage peut-il continuer à s’entrebattre ? Ce livre défend l’idée toute simple que le monde est un adversaire si puissant qu’il ne laisserait plus la place pour les guerres entre les hommes.

Biographie de l'auteur.e

Professeur à Stanford University, membre de l’Académie française, Michel Serres est l’auteur de nombreux essais philosophiques et d’histoire des sciences, notamment Petite Poucette, C’était mieux avant ! et Relire le relié, largement salués par la presse. Il est l’un des rares philosophes contemporains à proposer une vision du monde qui associe les sciences et la culture.

Quatrième de couverture

Les tueries sauvages qui ravagent, depuis des millénaires, les populations humaines se divisent en deux types : celles dont des lois, admises de tous, règlent les opérations, voilà justement les guerres ; et celles qui se propagent sans règle ni loi : violence aveugle ou terrorisme. Ou nous obéissons à un droit, même dans l’affrontement, ou nous laissons notre violence croître, sans frein, jusqu’à l’éradication. Disparaître de la terre : sans droit, nous nous exposons à ce danger majeur. Nous avons vécu deux guerres mondiales. Celle que nous livrons au monde : aux vivants, à l’air, à l’eau, à la terre elle-même… ne mérite-t-elle pas mieux un tel nom ?Quand le bateau menace de faire naufrage, l’équipage peut-il continuer à s’entrebattre ? Ce livre défend l’idée toute simple que le monde est un adversaire si puissant qu’il ne laisserait plus la place pour les guerres entre les hommes.