couverture

Un cerveau très prometteur

Besnier, Jean-Michel

  • Éditeur : le Pommier
  • Collection : Essais
  • 128 pages
  • ISBN 9782746510487
  • Paru le 11 novembre 2015
  • 24,95 $ *
  • Philosophie

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Résumé

Une entreprise apprend-elle comme un cerveau ? Faut-il renoncer à croire dans le libre-arbitre ? L’altruisme est-il fondé scientifiquement ? Nos facultés cognitives peuvent-elles résister à l’âge, voire être augmentées … ? Les attentes et questions adressées aux spécialistes du cerveau sont exorbitantes. Les neurobiologistes sont volontiers enthousiastes et confiants : grâce à l’imagerie cérébrale et à la modélisation informatique, ils découvrent les formidables ressources de la plasticité cérébrale. Mais comment exprimer les promesses des neurosciences sans éviter les écueils du scientisme ou l’irénisme ? Nous avons choisi une formule qui évoque celle des bons pédagogues dotés du sens de la question, ne craignant pas le tâtonnement et le détour, pratiquant même l’ironie et l’humour. Voici une conversation qui suit les circonvolutions de son sujet !Confronté à trois candides gourmands de sciences, le neurobiologiste ne fait pas la leçon : il parle son savoir et débride ainsi la curiosité de ses interlocuteurs. Il s’agit d’éprouver scientifiquement et philosophiquement des opinions diffuses– des opinions qui conditionnent déjà de nouvelles conceptions ou stratégies dans le monde de l’entreprise, dans les milieux de l'éducation et de la santé ou dans les colloques universitaires.

Biographie de l'auteur.e

Jean-Michel Besnier est professeur de philosophie à l’université Paris-Sorbonne (Paris IV) et l’auteur de très nombreux essais dont, L’homme simplifié (Fayard, 2012).

Quatrième de couverture

Une entreprise apprend-elle comme un cerveau ? Faut-il renoncer à croire dans le libre-arbitre ? L’altruisme est-il fondé scientifiquement ? Nos facultés cognitives peuvent-elles résister à l’âge, voire être augmentées … ? Les attentes et questions adressées aux spécialistes du cerveau sont exorbitantes.Les neurobiologistes sont volontiers enthousiastes et confiants : grâce à l’imagerie cérébrale et à la modélisation informatique, ils découvrent les formidables ressources de la plasticité cérébrale. Mais comment exprimer les promesses des neurosciences sans éviter les écueils du scientisme ou l’irénisme?Nous avons choisi une formule qui évoque celle des bons pédagogues dotés du sens de la question, ne craignant pas le tâtonnement et le détour, pratiquant même l’ironie et l’humour. Voici une conversation qui suit les circonvolutions de son sujet !Confronté à trois candides gourmands de sciences, le neurobiologiste ne fait pas la leçon : il parle son savoir et débride ainsi la curiosité de ses interlocuteurs. Il s’agit d’éprouver scientifiquement et philosophiquement des opinions diffuses– des opinions qui conditionnent déjà de nouvelles conceptions ou stratégies dans le monde de l’entreprise, dans les milieux de l'éducation et de la santé ou dans les colloques universitaires.