couverture

Et les chimpanzés prirent l'ascenseur

Jonas, Eyal

  • Éditeur : le Pommier
  • Collection : Manifestes
  • 112 pages
  • ISBN 9782746510968
  • Paru le 21 juin 2016
  • 22,95 $ *
  • Sciences sociales

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Comment une histoire de chimpanzés pourrait-elle réussir à nous expliquer pourquoi les femmes sont si peu représentées parmi les dirigeants d’États ou d’entreprises ? Ou pourquoi l’intégration des émigrés de nos anciennes colonies est si difficile ? Ou encore pourquoi les ultra-riches cherchent à devenir encore plus riches alors que leurs besoins matériels sont satisfaits pour des générations ?Il semblerait pourtant que cette histoire – qui parle aussi de bonobos ! – pourrait nous aider à comprendre beaucoup de choses sur notre propre espèce… Car nous sommes des animaux sociaux, comme nombre d’autres espèces animales, même si nous préférerions mourir sous la torture plutôt qu’admettre que parmi nous, il y a des dominants… et des dominés. Et que cela pourrait être un atout pour tous au lieu d’être une arme pour quelques privilégiés.

Biographie de l'auteur.e

Penseur atypique, Eyal Jonas s’est frotté, loin du sérail académique, aux grandes forces à l’œuvre dans notre société contemporaine : les forces du capitalisme et de la mondialisation.

Quatrième de couverture

Comment une histoire de chimpanzés pourrait-elle réussir à nous expliquer pourquoi les femmes sont si peu représentées parmi les dirigeants d’États ou d’entreprises ? Ou pourquoi l’intégration des émigrés de nos anciennes colonies est si difficile ? Ou encore pourquoi les ultra-riches cherchent à devenir encore plus riches alors que leurs besoins matériels sont satisfaits pour des générations ?Il semblerait pourtant que cette histoire – qui parle aussi de bonobos ! – pourrait nous aider à comprendre beaucoup de choses sur notre propre espèce… Car nous sommes des animaux sociaux, comme nombre d’autres espèces animales, même si nous préférerions mourir sous la torture plutôt qu’admettre que parmi nous, il y a des dominants… et des dominés. Et que cela pourrait être un atout pour tous au lieu d’être une arme pour quelques privilégiés.