couverture

Contribution à la théorie du baiser : essai

Lacroix, Alexandre

  • Éditeur : Autrement
  • ISBN 9782746730472
  • Paru le 18 octobre 2011
  • 26,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Essai sur le baiser amoureux et ses différentes facettes à travers les souvenirs de l'auteur, mais aussi l'histoire de l'art, le cinéma, la philosophie, la littérature...

Quatrième de couverture

Contribution à la théorie du baiser . « Un soir de décembre, ma femme s'approcha de moi et me fit un reproche que j'avais déjà entendu maintes fois dans sa bouche : " Tu ne m'embrasses pas assez ! ", me dit-elle. " Tu es aride. Mais pourquoi est-ce que tu ne penses jamais à me prendre dans tes bras, juste pour me donner des baisers ? " Comme d'habitude dans ces cas-là, je me contentai de hausser les épaules.. Mais un peu plus tard dans la soirée, alors qu'elle était partie dormir et que je passais quelques heures à mon ordinateur, j'ai tapé une suite de réflexions sur le baiser, qui forme le premier chapitre de ce livre. Où en étais-je avec le baiser ? Qu'y avait-il dans ce geste si simple qui me le faisait paraître inutile ou difficile ? Le lendemain, en me relisant, j'ai senti que j'avais touché un sujet plus profond qu'il n'y paraissait au départ... ». Voyageant dans ses souvenirs, l'auteur s'interroge sur le rôle que jouent les baisers dans une vie, de l'adolescence à l'amour conjugal. Cette enquête passionnante l'amène aussi à parcourir l'Histoire, de la Rome Antique au cinéma hollywoodien, des poètes de la Renaissance à Freud, pour trouver la clé de cet acte fréquent et pourtant si mystérieux : le baiser.. « J'ai maintenant assez longuement fréquenté la confrérie des fiancés et il me faut en tirer quelque profit. J'ai donc songé à rédiger mes notes dans un ouvrage intitulé : Contribution à la théorie du baiser, dédié à tous les tendres amants. Il est du reste curieux qu'il n'existe pas un seul traité sur la question. Si jamais j'achève cette étude, je comblerai une lacune longtemps ressentie en littérature. Viendrait-elle de ce que les philosophes négligent le sujet, ou n'y entendent rien ? »
Søren Kierkegaard, Journal du séducteur..