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Dans ce texte paru sous une fausse attribution en 1777, Diderot s'efforce de convaincre la très pieuse et très raisonnable duchesse de Broglie des mérites et vertus de l'athéisme. Selon le philosophe, une morale naturelle, indépendante de la religion, affinée par l'éducation et mue par la recherche du bonheur est possible.
Pour une morale de l'athéisme . Entretien d'un philosophe avec la maréchale de *** . En 1771, Denis Diderot rend visite au maréchal de France, Victor-François de Broglie : ce dernier étant absent, le philosophe s'entretient pendant plus d'une heure avec sa ravissante et très pieuse épouse : un vif débat sur les fondements de la foi et de l'incroyance s'engage. Le penseur se plaît à lui démontrer sur un ton badin qu'un athée est aussi largement doté de sens moral qu'un croyant.. Publié sous une fausse attribution en 1777, cette parodie de dialogue socratique offre un vibrant plaidoyer en faveur de l'athéisme..