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Cette histoire des pratiques alimentaires françaises montre que la bonne cuisine bourgeoise actuelle était en fait aux origines la cuisine du pauvre. L'étude montre une évolution des goûts et établit une généalogie des racines de la cuisine française.
Nourritures canailles . Qui peut croire que le menu traditionnel d'une brasserie (lapin en gibelotte, tripes, fricassée de champignons, etc.) remonte à la Renaissance, où il constituait alors le quotidien des miséreux ? Ce que l'on considère comme la bonne cuisine bourgeoise est en réalité, à ses origines, la cuisine du pauvre. Les goûts changent : de populaires, certains plats deviennent raffinés, tandis que d'autres disparaissent des cartes et des cuisines. D'autres encore, telle la poule au pot, entrent dans la légende.. Madeleine Ferrières propose ici, à partir de sources culinaires inédites, une généalogie des racines de la cuisine française. Elle restitue une culture de table pour partie oubliée. Plus qu'une simple histoire des habitudes alimentaires, c'est une analyse - toute de saveurs et d'odeurs - de notre cuisine nationale qui est menée..