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Trois courts récits d'autofiction publiés en 2003 dans Pourquoi s'en faire, où J. Franzen évoque sa famille et son enfance. Il raconte les débuts de la maladie d'Alzheimer de son père, sa compréhension de l'époque et son enfance dans une banlieue du Missouri. Il explore ainsi les contradictions de la nostalgie, la répression des tabous et la lente disparition de la vie.
Le cerveau de mon père . Une épouse qui ressemble de plus en plus à une mère, des enfants que l'on ne reconnaît plus, un monde auquel on ne comprend décidément rien : cet homme, autrefois si fort, semble désormais perdre pied, sous le regard inquiet de son fils.. Jonathan Franzen évoque son impuissance face à la maladie, et s'aventure en secret dans Le cerveau de son père.. « J'ai regardé le réveil et il était en train de se raser à deux heures du matin. » .
