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Dans cet ouvrage, l'auteur prolonge sa critique de la société industrielle en dénonçant la servitude née du productivisme, le culte de la croissance et de la réussite matérielle. Pour répondre à la menace d'une apocalypse technocratique, il propose la redécouverte de l'espace du bien-vivre ou convivialité, voie par laquelle les sociétés s'humaniseront.
Ivan Illich (1926-2002), il a dirigé l'université catholique de Porto Rico avant de fonder, au Mexique, le Centre international de documentation (CIDOC).
«Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l'idéologie nous fera crever de bonheur. La liberté et la dignité de l'être humain continueront à se dégrader, ainsi s'établira un asservissement sans précédent de l'homme à son outil.»
Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la «menace d'une apocalypse technocratique» la «vision d'une société conviviale». Ce n'est que par la redécouverte de l'espace du bien-vivre, qu'Illich appelait la convivialité, que les sociétés s'humaniseront.