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Une grande épopée de l'Ouest canadien revit dans ce livre dont le héros, Louis Riel, fut exécuté en 1885, au nom d'un ultranationalisme canadien qui a déshonoré à tout jamais ses pratiquants. Le Journal de guerre en est un de combat, mais aussi un recueil de réflexions intimes sur la pensée de l'homme politique, sur les événements de sa vie, et surtout sur les Métis, son peuple dépossédé. Il se compose aussi de rêveries, de visions, de prémonitions. Les faits historiques y côtoient une dimension imaginaire confinant à la voyance.Comme les dernières lettres des condamnés à la peine capitale, le Journal de prison tente d'apprivoiser la mort. Riel y développe toutes ses oppositions intimes, son mysticisme romantique sur les entités supérieures et l'au-delà. On y ressent aussi la grande solitude des combattants qui doutent encore. Dans ces deux journaux, les notes de l'auteur sont comme des miroirs mettant en valeur avec maints détails les tenants et les aboutissants d'un des chapitres cardinaux de l'histoire du Canada et du Québec. On y découvre également un aspect méconnu de Riel : celui d'homme de lettres. Enfin, des hommages et une chronologie inédite, de 1604 à nos jours, décrivent l'histoire de la famille Riel et la lutte des Métis pour leurs droits. Ce document historique n'avait été édité qu'une seule fois auparavant, dans l'ouest canadien, et n'avait connu qu'une diffusion confidentielle.
Auteure, chroniqueuse, docteure ès lettres, Ismène Toussaint est une spécialiste de la littérature de l'Ouest du Canada. Ses deux principaux champs d'études concernent les vies de Louis Riel (Louis Riel, Le Bison de cristal, Stanké, 2000) et de Gabrielle Roy (Les Chemins secrets de Gabrielle Roy – Témoins d'occasion, Stanké, 1999 et Les Chemins retrouvés de Gabrielle Roy – Témoins d'occasion au Québec, Stanké, 2004).
Une grande épopée de l'Ouest canadien revit dans ce livre dont le héros, Louis Riel, fut exécuté en 1885, au nom d'un ultranationalisme canadien qui a déshonoré à tout jamais ses pratiquants. Le Journal de guerre en est un de combat, mais aussi un recueil de réflexions intimes sur la pensée de l'homme politique, sur les événements de sa vie, et surtout sur les Métis, son peuple dépossédé. Il se compose aussi de rêveries, de visions, de prémonitions. Les faits historiques y côtoient une dimension imaginaire confinant à la voyance.Comme les dernières lettres des condamnés à la peine capitale, le Journal de prison tente d'apprivoiser la mort. Riel y développe toutes ses oppositions intimes, son mysticisme romantique sur les entités supérieures et l'au-delà. On y ressent aussi la grande solitude des combattants qui doutent encore. Dans ces deux journaux, les notes de l'auteur sont comme des miroirs mettant en valeur avec maints détails les tenants et les aboutissants d'un des chapitres cardinaux de l'histoire du Canada et du Québec. On y découvre également un aspect méconnu de Riel : celui d'homme de lettres. Enfin, des hommages et une chronologie inédite, de 1604 à nos jours, décrivent l'histoire de la famille Riel et la lutte des Métis pour leurs droits. Ce document historique n'avait été édité qu'une seule fois auparavant, dans l'ouest canadien, et n'avait connu qu'une diffusion confidentielle.