couverture

Décolonisation de la scolarisation des jeunes Inuit et des Premières nations (La)

  • Éditeur : PRESSES DE L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC (PUQ)
  • 316 pages
  • ISBN 9782760552852
  • Paru le 1 février 2020
  • 36,00 $ *
  • Histoire autochtone

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Résumé

Au Québec, les difficultés institutionnelles à scolariser les jeunes Inuit et ceux des Premières Nations jusqu’à la fin du secondaire ne peuvent plus être ignorées. Il en est de même pour la formation postsecondaire. Au Chili, les conditions institutionnelles nécessaires à la mise en pratique de la politique d’éducation interculturelle bilingue sont souvent absentes. Ces entraves, voire ces échecs systémiques, sont mises en évidence par de nombreux rapports émanant d’organismes autochtones, de gouvernements et de travaux de chercheurs.Les auteurs du présent ouvrage souhaitent mettre au jour une diversité d’approches et de perspectives d’analyse, de compréhension et d’action développées par des universitaires et leurs partenaires des Premiers Peuples favorisant la réussite scolaire et éducative de tous les jeunes. Ce livre offre un examen tant de la situation générale de l’éducation des populations autochtones que de situations particulières de travail en collaboration université-communauté pour le développement de projets éducatifs. La question de l’articulation des savoirs du patrimoine culturel des Premiers Peuples et des savoirs valorisés par les sociétés englobantes et dominantes est au coeur des réflexions et des récits d’actions de ce collectif.Ce livre s’adresse à toute personne qui a un intérêt pour l’éducation et la formation des jeunes des Premiers Peuples, et plus précisément pour les questions de scolarisation de base, de formation à l’enseignement, d’administration ou de politiques publiques en éducation.Gisèle Maheux est professeure associée à l’Unité d’enseignement et de recherche (UER) en sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Abitibi- Témiscaminque (UQAT). Elle est membre émérite du Centre interuniversitaire d’études et de recherches autochtones (CIÉRA) de l’Université Laval.Glorya Pellerin est professeure titulaire à l’UER en sciences de l’éducation de l’UQAT et directrice de l’Unité de recherche, de formation et de développement en éducation en milieu inuit et amérindien.Segundo Enrique Quintriqueo Millán est professeur à l’Universidad Católica de Temuco et chercheur au Centro de Investigación en Contexto Indígena e Intercultural ainsi qu’au CIÉRA.Lily Bacon est professeure régulière à l’UER en sciences de l’éducation de l’UQAT et responsable des programmes de formation des enseignants des Premières Nations.

Biographie de l'auteur.e

Gisèle Maheux est professeure associée à l’Unité d’enseignement et de recherche (UER) en sciences de l’éducation de l’Université du Québec en Abitibi- Témiscaminque (UQAT). Elle est membre émérite du Centre interuniversitaire d’études et de recherches autochtones (CIÉRA) de l’Université Laval.