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Au cours des dernières décennies, la création narrative a connu un essor significatif dans les médias tels le cinéma, la télévision, le web et les jeux vidéo. Dans ce contexte, l’intérêt pour les pratiques scénaristiques s’est étendu tant dans le monde professionnel que dans les milieux de formation et de recherche.
Ce livre met en lumière des perspectives interdisciplinaires et des enjeux intermédiaux liés à la lecture de scénarios. L’autrice adopte une approche du scénario en tant qu’objet textuel, prenant en considération les divers contextes sociaux dans lesquels il s’inscrit. Cette approche repose sur le principe de virtualité, qui, ici, ne renvoie pas aux « réalités virtuelles » que l’on connaît, mais trouve plutôt ses racines dans des théories philosophiques, anthropologiques et artistiques qui arpentent l’imaginaire et la fiction depuis bien avant l’ère des nouvelles technologies. En intégrant ces perspectives, l’autrice propose une vision approfondie et renouvelée du processus complexe et enrichissant qu’est la lecture scénaristique. Celle-ci se révèle alors comme un geste interprétatif de médiation, d’appropriation, de transposition, d’adaptation, de projection, voire de création.
Gabrielle Tremblay est professeure en études scénaristiques au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
Au cours des dernières décennies, la création narrative a connu un essor significatif dans les médias tels le cinéma, la télévision, le web et les jeux vidéo. Dans ce contexte, l’intérêt pour les pratiques scénaristiques s’est étendu tant dans le monde professionnel que dans les milieux de formation et de recherche. . Ce livre met en lumière des perspectives interdisciplinaires et des enjeux intermédiaux liés à la lecture de scénarios. L’autrice adopte une approche du scénario en tant qu’objet textuel, prenant en considération les divers contextes sociaux dans lesquels il s’inscrit. Cette approche repose sur le principe de virtualité, qui, ici, ne renvoie pas aux « réalités virtuelles » que l’on connaît, mais trouve plutôt ses racines dans des théories philosophiques, anthropologiques et artistiques qui arpentent l’imaginaire et la fiction depuis bien avant l’ère des nouvelles technologies. En intégrant ces perspectives, l’autrice propose une vision approfondie et renouvelée du processus complexe et enrichissant qu’est la lecture scénaristique. Celle-ci se révèle alors comme un geste interprétatif de médiation, d’appropriation, de transposition, d’adaptation, de projection, voire de création..