couverture

Nous étions nés pour ne jamais mourir

Vaillancourt, Lise

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Résumé

Violette voit le jour en 1954 dans une famille de la classe moyenne. Famille où ne sévissent ni violence ni mauvais traitements, mais une grande indigence morale. De la ville à la banlieue, Violette remonte le fil de ses souvenirs, de sa naissance jusqu'à ses vingt ans. Cette cartographie de la mémoire, illustrée par la culture populaire, lui permettra de réfléchir sur le monde. De Papa a raison au retour à la terre, Violette ne s'affranchira pas sans peine des relations familiales. Le roman se clôt sur une rencontre avec son père, une vingtaine d'années plus tard. À travers cette histoire, Lise Vaillancourt nous donne à lire le Québec des années 1950 à 1970, ce Québec qui s'ouvre sur le monde... et sur la consommation. Elle nous offre une chronique d'une grande sensibilité, qui jette un regard lucide sur la société qui l'a vue naître.

Biographie de l'auteur.e

Auteure dramatique, comédienne et romancière, Lise Vaillancourt écrit pour le théâtre depuis 1982. Ses pièces ont toutes été produites dans les principaux lieux de création de Montréal et de Québec. Chez Leméac, elle a fait paraître le roman L'été des eiders, qui lui a valu d'être finaliste pour un Prix littéraire du Gouverneur général du Canada en 1996, et la pièce La corneille, créée au Théâtre du Rideau Vert en 2012. Professeure d'écriture à l'École nationale de théâtre du Canada, elle a plus récemment investi le monde de la danse à titre de dramaturge auprès du chorégraphe Pierre-Paul Savoie.

Quatrième de couverture

Violette voit le jour en 1954 dans une famille de la classe moyenne. Famille où ne sévissent ni violence ni mauvais traitements, mais une grande indigence morale. De la ville à la banlieue, Violette remonte le fil de ses souvenirs, de sa naissance jusqu'à ses vingt ans. Cette cartographie de la mémoire, illustrée par la culture populaire, lui permettra de réfléchir sur le monde. De Papa a raison au retour à la terre, Violette ne s'affranchira pas sans peine des relations familiales. Le roman se clôt sur une rencontre avec son père, une vingtaine d'années plus tard. À travers cette histoire, Lise Vaillancourt nous donne à lire le Québec des années 1950 à 1970, ce Québec qui s'ouvre sur le monde... et sur la consommation. Elle nous offre une chronique d'une grande sensibilité, qui jette un regard lucide sur la société qui l'a vue naître.