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En mai 2020, une baleine égarée remonte le fleuve jusqu’à Montréal. Au moment où elle est retrouvée morte, la mère de Martine Béland rend l’âme au terme d’une longue maladie. Dans ses derniers moments, celle qui préférait souvent la compagnie des animaux à celle des humains demandait des nouvelles du « mégaptère », mot qu’elle employait pour désigner ce grand mammifère marin qui la fascinait.
Née à Ottawa, Martine Béland a étudié la philosophie et l’allemand. Après plusieurs années en Ontario et à Montréal, elle vit maintenant en Nouvelle-Écosse. Mégaptère est sa première œuvre publiée chez Leméac.
Car la mort est partout : il vaut mieux l’apprivoiser. Elle est dans le tissu même des choses, elle irrigue, elle nourrit – elle permet à la vie d’aller de l’avant.. En mai 2020, une baleine égarée remonte le fleuve jusqu’à Montréal. Au moment où elle est retrouvée morte, la mère de Martine Béland rend l’âme au terme d’une longue maladie. Dans ses derniers moments, celle qui préférait souvent la compagnie des animaux à celle des humains demandait des nouvelles du « mégaptère », mot qu’elle employait pour désigner ce grand mammifère marin qui la fascinait.. À la frontière entre l’essai et le récit, Mégaptère s’ouvre sur la coïncidence entre ces deux morts pour remonter le fil d’une histoire et comprendre ce qui fait la valeur d’une vie..