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Depuis 2010, Albert Benhaim, médecin, subit les assauts répétés de la Régie de l'assurance maladie du Québec ainsi que ceux du Collège des médecins du Québec, qui l'a radié à vie de ses rangs en 2017. La raison? Physimed, la clinique dont il est l'un des actionnaires, a refusé de remettre, d'abord à la RAMQ, ensuite au Collège des médecins, un document de nature strictement commerciale qui ne concerne ni les services assurés par le régime public ni sa pratique de la médecine. Dans ce livre-choc, Albert Benhaim - qui n'a fait l'objet d'aucune plainte disciplinaire en près de 30 ans d'exercice de la médecine - raconte sa longue descente aux enfers, décrivant comment le Collège des médecins n'a reculé devant aucune manoeuvre déloyale ou abus de pouvoir pour l'exécuter professionnellement et moralement, et le briser financièrement. Du même souffle, il dénonce l'absence d'imputabilité des syndics d'ordres professionnels qui n'ont presque aucun compte à rendre de leurs actes à qui que ce soit.
Né au Maroc en 1961, Albert Benhaim a immigré au Québec avec sa famille en 1975. Après avoir obtenu son doctorat en médecine de l'Université McGill, il a fondé, en 1988, avec son associé Gilles Racine, la clinique médicale Physimed, l'une des plus importantes du genre au Québec, dont il assume la présidence à ce jour.
Depuis 2010, Albert Benhaim, médecin, subit les assauts répétés de la Régie de l'assurance maladie du Québec ainsi que ceux du Collège des médecins du Québec, qui l'a radié à vie de ses rangs en 2017. La raison? Physimed, la clinique dont il est l'un des actionnaires, a refusé de remettre, d'abord à la RAMQ, ensuite au Collège des médecins, un document de nature strictement commerciale qui ne concerne ni les services assurés par le régime public ni sa pratique de la médecine. Dans ce livre-choc, Albert Benhaim - qui n'a fait l'objet d'aucune plainte disciplinaire en près de 30 ans d'exercice de la médecine - raconte sa longue descente aux enfers, décrivant comment le Collège des médecins n'a reculé devant aucune manoeuvre déloyale ou abus de pouvoir pour l'exécuter professionnellement et moralement, et le briser financièrement. Du même souffle, il dénonce l'absence d'imputabilité des syndics d'ordres professionnels qui n'ont presque aucun compte à rendre de leurs actes à qui que ce soit. Il explique enfin comment, à travers sa propre personne, des pans entiers du système québécois de santé ont déclaré une guerre sans merci aux cliniques privées et semi-privées.