couverture

Identité, « race », liberté d'expression

Perspectives critiques sur certains débats qui fracturent la gauche

Antonius, Rachad

  • Éditeur : Presses De L'Université Laval
  • 396 pages
  • ISBN 9782763756257
  • Paru le 16 novembre 2021
  • 18,95 $ *
  • Sciences sociales

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Résumé

En collaboration avec Marie-France Bazzo, Maka Kotto et plusieurs autres, voici un ouvrage qui traite de notre liberté d’expression, que ce soit sur le mot en n, la pièce de théâtre SLAV et d’autres événements médiatisés qui ont provoqués un certain malaise dans notre société.

Biographie de l'auteur.e

Rachad Antonius est professeur titulaire retraité du département de sociologie de l’Université du Québec à Montréal. Il détient un doctorat en sociologie (Ph. D.) et une maîtrise en mathématiques (M. Sc.).

Quatrième de couverture

Au cours des dernières années, dans la société civile mais aussi à l’université, on a beaucoup débattu de liberté d’expression, de laïcité, de « race », de sexe et de genre, d’identité, de justice, de diversité, et même du statut de la vérité et de valeur de la science, tout cela souvent de manière très virulente. Ces débats ont fait apparaître des divisions et même des fractures, souvent profondes, au sein de la gauche. Une nouvelle cartographie du politique est-elle en train de se dessiner ? Pourquoi certaines des positions adoptées par une partie de la gauche actuelle semblent-elles, à tant d’autres qui se réclament eux et elles aussi de la gauche, reproduire des positions traditionnellement associées à la droite ? Ce jugement est-il juste ? Cet ouvrage propose une réflexion sur ces clivages et réunit pour cela les contributions de nombreuses personnes qui se réclament de la gauche au sens large mais qui sont troublées par ces débats, et qui cherchent non seulement à en comprendre la portée mais aussi à saisir les angles morts de certaines des positions défendues par les uns et les autres. Les analyses qui sont avancées ne visent pas à nier ou à faire disparaître les préoccupations souvent légitimes portées par ce pôle de la gauche qu’elles critiquent. Mais elles cherchent à en proposer un traitement qui ne fasse fi ni de l’héritage rationaliste des Lumières ni de celui des droits et libertés, qui ont traditionnellement été portés par la gauche.