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Le gouvernement du Québec a lancé un vaste débat public sur la légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté, encadré par une commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité. Pour l'occasion, les auteurs de cet ouvrage unissent leur compétence respective, de médecine et de philosophie, et proposent des regards convergents sur cette délicate question. La raison de l'argumentaire concerne la dignité et l'autonomie, des notions constamment évoquées dans les débats. Le propos développe aussi la question des soins effectifs en fin de vie. On distingue la pratique de l'euthanasie de la sédation palliative, celle des soins convenables de l'acharnement thérapeutique.On dénonce les menaces contre la manipulation des personnes, des familles et des citoyens. On prévient les dérives possibles tant économiques que politiques. On dissipe quelques mythes : celui de la dernière piqûre et celui du spectre mortifère de la morphine.
Mourir dans la dignité - Permettre une fin de vie paisible, un devoir politique, Le Devoir 2012 - Commentaire de Louis-André Richard - Le gouvernement du Québec a lancé un vaste débat public sur la légalisation de l'euthanasie et du suicide assisté, encadré par une commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité. Pour l'occasion, les auteurs de cet ouvrage unissent leur compétence respective, de médecine et de philosophie, et proposent des regards convergents sur cette délicate question. La raison de l'argumentaire concerne la dignité et l'autonomie, des notions constamment évoquées dans les débats. Le propos développe aussi la question des soins effectifs en fin de vie. On distingue la pratique de l'euthanasie de la sédation palliative, celle des soins convenables de l'acharnement thérapeutique.On dénonce les menaces contre la manipulation des personnes, des familles et des citoyens. On prévient les dérives possibles tant économiques que politiques. On dissipe quelques mythes : celui de la dernière piqûre et celui du spectre mortifère de la morphine. Le plaidoyer puise à l'expertise de la Maison Michel-Sarrazin. Cette institution, forte de ses 25 ans d'expérience en soins de fin de vie, est une source de choix pour ancrer solidement la réflexion.