couverture

Cage perdue (La)

Tibo,Gilles

  • Éditeur : Québec-Amérique
  • 191 pages
  • ISBN 9782764401705
  • 9,95 $ *
  • Jeunesse

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Après Les Malheurs de Sophie de la comtesse de Ségur, on serait tenté de parler des folleries de Noémie ! Bien que le douxième épisode de cette série nous parle du douleureux deuil d’un animal de compagnie, avec Noémie dans les parages rien n’est banal et tout prend un tour inattendu. Qu’est-ce qu’elle ne ferait pas pour sa gardienne préférée ?Auteur prolifique, Gilles Tibo poursuit ici les aventures de cette jeune fille espiègle et attachante qui a déjà conquis le coeur de dizaines de milliers de lecteurs d’ici et d’ailleurs.Attristée par la mort de son serin, grand-maman Lumbago broie du noir et a perdu son entrain habituel. Qu’à cela ne tienne, Noémie utilise tous les stratagèmes pour tenter de réconforter sa gardienne préférée. Les choses se compliquent lorsque Noémie se fait subtiliser la cage à laquelle tient particulièrement sa grand-mère. Que faire pour éviter le drame ? Comme toujours, Noémie a plus d’un tour dans son sac pour se tirer d’un mauvais pas…

Biographie de l'auteur.e

D'abord reconnu pour ses talents d’illustrateur, Gilles Tibo s'est découvert, il y a plusieurs années maintenant, une passion dévorante pour l'écriture. La qualité de ses romans, qu'ils soient destinés à la jeunesse ou aux adultes, ne cesse d'ailleurs d'être remarquée. Récipiendaire du prix du Gouverneur général, Tibo a récemment eu la chance de voir l'un de ses plus célèbres personnages porté au grand écran, avec la parution du film Noémie, le secret. Cet automne, il nous revient avec Les Grandes Paniques, le vingtième titre de la série Noémie ! Dans ce tome double au rythme endiablé, Noémie devra faire face aux deux plus gros problèmes de l’humanité. Saura-t-elle garder son calme pour les régler ? Parions que non... et cela pour le plus grand plaisir des lecteurs !

Quatrième de couverture

Extrait :Je me dis que la vie est mal organisée. Je me dis que quelque chose ne tourne pas rond là-dedans. Il faudrait vivre avec des animaux de peluche, des animaux qui ne peuvent pas mourir parce qu’ils ne sont pas vivants. Mes poupées et mes oursons ne mourront jamais. C’est plus facile comme ça. Il faudrait aussi avoir des amis, des parents et des grands-parents de peluche… et, pour régler le problème une fois pour toutes, il faudrait que, moi aussi, je sois en peluche…