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Voyages à travers le temps, apparitions fantomatiques et voix d’outre-tombe… François Gravel a réuni dans ce cinquième titre de la populaire série Sauvage, tous les éléments nécessaires à un roman d’épouvante redoutablement efficace. Il remet en question les fondements mêmes du temps, celui qui nous est alloué et ce qu’on en fait. L’expression « perdre son temps » n’aura jamais été aussi terrifiante…M. Svonok était obsédé par le temps. La preuve, sa maison est remplie de centaines d’horloges. Dans toutes les pièces! Le défunt propriétaire de cette maison que doivent retaper Steve et ses amis était-il un fin collectionneur ou simplement un vieil ermite un peu dérangé? Nul ne le sait. Une chose est sûre cependant, la maison semble émettre de drôles de vibrations. En effet, depuis leur arrivée, les quatre adolescents sont habités par de curieuses impressions… Souvenirs du passé qui rejaillissent tout à coup, voix d’outre-tombe qui tentent de dicter leur conduite, voyages dans le temps, rien n’est normal ici, au fond des bois. Et cette lueur étrange là-bas, de l’autre côté du lac, d’où peut-elle bien provenir? Il n’y a pourtant pas âme qui vive à des kilomètres à la ronde… Seraient-ils en danger? Devraient-ils fuir ou bien rester?
François Gravel, dont l'œuvre compte plus de 50 titres, possède le rare talent de s'adresser avec le même plaisir contagieux à tous les publics, jeunes et moins jeunes. Pour le reste, il n'a jamais escaladé l'Everest, n'a pas joué pour les Canadiens et n'a jamais essayé de provoquer une polémique pour qu'on parle de lui dans les journaux. Il se contente d'écrire des romans et il s'en porte bien!
Extrait :… on lit parfois des romans où les personnages remontent dans le temps à bord d’étranges machines. Les héros n’ont qu’à tourner les aiguilles d’un cadran pour se promener d’une époque à l’autre avant de revenir tranquillement chez eux, dans leur maison de banlieue où rien n’a changé, sauf un petit détail troublant qui laisse croire que le temps est vraiment déréglé...Ça, c’est dans les romans. Mais quand le temps se dérègle pour vrai, quand il se brise comme un miroir et que ses éclats se reflètent à l’infini, quand certains de ces éclats vous présentent des visions d’horreur et que vous n’osez pas fermer les yeux parce que vous savez que ce serait encore pire, c’est une expérience pour le moins terrifiante, vous pouvez me croire. Dans la vraie vie, le scénariste n’a pas toujours prévu un cadran dont on peut tourner les aiguilles au bon moment...