couverture

Oiseau rouge (L')

Côté, Denis

  • Éditeur : QUÉBEC AMÉRIQUE
  • Collection : Titan
  • 156 pages
  • ISBN 9782764406052
  • Paru le 4 mars 2008
  • 9,95 $ *
  • Jeunesse

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Résumé

Au lieu de fréquenter la polyvalente, Jean-Olivier voyage d'un bout à l'autre du Québec en compagnie de ses parents. À bord de l'autocaravane, tout roule. Puis, une nuit d’hiver, le trio trouve une jeune fille grièvement blessée sur le bord de la route. Sa beauté et son mystère ensorcèlent aussitôt Jean-Olivier. Très vite cependant, il fait une sombre découverte : la belle Fannie aux cheveux rouges fait partie du FLQ, le Front de libération du Québec. Ce mouvement révolutionnaire est censé avoir disparu il y a plus de trente ans...Maintes fois primée, l’oeuvre de Denis Côté est forte et variée : romans, nouvelles, scénarios, textes divers dans des magazines. Trépidant, L’Oiseau rouge est rempli d'action, de fuites et de poursuites. C'est aussi l'histoire poignante d'un premier amour. Mais l'auteur y aborde surtout une question brûlante d'actualité : la violence terroriste peut-elle changer le monde ?

Biographie de l'auteur.e

Denis Côté est né un 1er janvier, à Québec, où il vit toujours. Diplômé en littérature, il a exercé plusieurs métiers avant de devenir écrivain à temps plein. Il a à son actif plus de 30 romans et recueils de nouvelles dédiés au lectorat jeunesse. Trois de ses romans ont été adaptés pour le petit écran, et d’autres ont été traduits en anglais, en chinois, en danois, en espagnol, en italien et en néerlandais.La rêverie tient une place importante dans le processus d’écriture de Denis Côté, et c’est d’ailleurs l’étape qu’il préfère. Ce qu’il aime le moins ? La correction. Selon lui, toute œuvre d'art demande 10 % d'inspiration et 90 % de transpiration !

Quatrième de couverture

Extrait : Je restai enfermé dans le coffre de l'auto durant près d'une heure et demie. Outre la sensation d'étouffement, la quasi-certitude de ma mort prochaine sabotait mon esprit, me privant de toute capacité de réfléchir.Lorsque le moteur s'éteignit et que mes kidnappeurs me permirent enfin de sortir, on ne pouvait plus dire qu'il neigeait. Il tempêtait plutôt. L'éblouissement causé par la lumière du jour, la neige dans mes yeux, la violence avec laquelle je fus traîné, tout cela m'empêcha de bien voir et, donc, de me faire une idée du lieu où j'avais abouti.Devant moi, une porte s'ouvrit avec fracas et des pas résonnèrent sur une surface dure.- On ramène le trou de cul! aboya Connard en me poussant dans la salle de séjour. Si ce gars-là n'est pas un espion, je jure de vous chanter tous les soirs God Save America!