couverture

Tab'arnaques : nouvelles

Baranger, Luc

  • Éditeur : Québec-Amérique
  • Collection : Littérature d'Amérique
  • 257 pages
  • ISBN 9782764407646
  • Paru le 25 janvier 2011
  • 22,95 $ *
  • Littérature québécoise

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Résumé

Préface de Vincent Lacroix !Dans ce recueil de 13 nouvelles décapantes, dont une à quatre mains, arnaqueurs et «pigeons» en tout genre se côtoient pour notre plus grand plaisir de lecteur. La triste nouvelle, c’est que la majorité des histoires présentées sont toutes basées sur des faits véridiques. Luc Baranger et André Marois ont donc unis leurs talents de conteurs pour lever le voile sur des situations à faire frémir mais aussi à faire sourire. Comme quoi la cupidité est, hélas, une caractéristique du genre humain...De l’Abitibi à Montréal, en passant par Toronto ou Destin, dans l’État de la Floride, nul n’est à l’abri des tentations. Si visiblement, tout le monde souhaite améliorer son sort, il semble que certains cherchent à prendre quelques raccourcis...NOUVELLES DE LUC BARANGER1. Les voies du Seigneur sont impitoyables2. Les chats ne font pas les chiens3. Bien mal acquis...4. Du blond dans l’aile5. La vengeance de la pelouse6. Le passage du RelaisNOUVELLES D’ANDRÉ MAROIS7. Cash !8. Haut vol9. Toucher le jackpot, c’est hot !10. Si le crime ne paie plus qui va régler l’addition ?11. Servez-vous, c’est gratis !12. Toutes mes excusesNOUVELLE À QUATRE MAINS13. Blanc comme nègre

Biographie de l'auteur.e

Depuis treize ans et autant de romans, cet auteur flirte avec l’escroquerie. Il s’est accaparé les destins de dizaines de personnages au point de figurer en bonne place dans le Dictionnaire des littératures policières de Claude Mesplèdes.Le recueil de nouvelles intitulé Tab’arnaques est le fruit d’une première collaboration entre Luc Baranger et André Marois, et espérons qu’il ne s’agit pas de la dernière !

Quatrième de couverture

Extrait :EXTRAIT DE LA NOUVELLE «BLANC COMME NÈGRE»Le matin, en se rasant ou en se beurrant de mascara à la truelle, les habitants de la province entendaient Lucie, d’un ton très docte de mandarin de faculté de médecine, livrer le fruit de sa réflexion chez Homier-Roy; à dix heures douze, elle était sur Canal Vie; à midi vingt-deux, sur RDI; l’après-midi, chez Monique Giroux;, plus tard, chez Michel Désautels, et c’était limite pour que sur les coups de vingt et une heure, elle n’y aille pas de son refrain chez Dan Behrman, entre un couplet suranné de Don’t Let Me Be Misunderstood et une version couillue de I’m a Hoochie Coochie Woman. Le maître mot de la vie de Lucie Morisa, c’était bien celui-là : exister.