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887 est une incursion dans l'univers de la mémoire, un récit qui prend naissance dans les souvenirs d'enfance de Robert Lepage. Des années plus tard, l'auteur et homme de théâtre plonge au coeur de sa mémoire, s'interroge sur ses mécanismes. Pourquoi se souvient-on du numéro de téléphone de notre jeunesse, alors qu'on oublie l'actuel ? Pourquoi des informations futiles persistent-elles, alors que d'autres, plus utiles, se dérobent ? De quelle façon un souvenir personnel trouve-t-il écho dans la mémoire collective ? Qu'en est-il de l'oubli, de l'inconscient, de cette mémoire qui s'efface avec le temps et dont les limites sont compensées par le stockage numérique, les mémoires virtuelles ? Toutes ces questions se distillent dans un récit où Lepage expose les affres d'un comédien qui - par définition, ou pour survivre - doit se souvenir, d'abord du texte qu'il a dire devant nous, mais également de son passé, et de la réalité historique et sociale dont il hérite et où il s'inscrit.
Artiste multidisciplinaire, Robert Lepage exerce avec une égale maîtrise les métiers d'auteur dramatique, de metteur en scène, d'acteur et de réalisateur. Salué par la critique internationale, il crée et porte à la scène des oeuvres originales qui bouleversent les standards en matière d'écriture scénique, notamment par l'utilisation de nouvelles technologies. Parmi ses oeuvres les plus marquantes, mentionnons au théâtre La Face cachée de la Lune (2000), Le Projet Andersen (2005), Lipsynch (2007), sa nouvelle mouture de Les Aiguilles et l'opium (2013), son solo 887 (2015) et Quills (2016) ; ses oeuvres multimédia Le Moulin à images (2008) et La bibliothèque, la nuit (2015) ; à l'opéra Le Rossignol et autres fables (2009), le cycle Der Ring des Nibelungen de Wagner (2010-11 et 2011-12) et L'Amour de loin (2015).
887 est une incursion dans l'univers de la mémoire, un récit qui prend naissance dans les souvenirs d'enfance de Robert Lepage. Des années plus tard, l'auteur et homme de théâtre plonge au coeur de sa mémoire, s'interroge sur ses mécanismes. Pourquoi se souvient-on du numéro de téléphone de notre jeunesse, alors qu'on oublie l'actuel ? Pourquoi des informations futiles persistent-elles, alors que d'autres, plus utiles, se dérobent ? De quelle façon un souvenir personnel trouve-t-il écho dans la mémoire collective ? Qu'en est-il de l'oubli, de l'inconscient, de cette mémoire qui s'efface avec le temps et dont les limites sont compensées par le stockage numérique, les mémoires virtuelles ? Toutes ces questions se distillent dans un récit où Lepage expose les affres d'un comédien qui - par définition, ou pour survivre - doit se souvenir, d'abord du texte qu'il a dire devant nous, mais également de son passé, et de la réalité historique et sociale dont il hérite et où il s'inscrit.