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Quand Michael Delisle était enfant, ses « oncles », c'est-à-dire les amis de son père, ne disaient pas arme mais morceau ou de façon plus métonymique, feu. Dans ce poignant récit, le poète se remémore son père, le bandit devenu chrétien charismatique, l'homme violent qui ne parlait plus que de Jésus, l'homme détesté qu'on ne peut faire autrement qu'aimer, en dépit de tout.
Quand Michael Delisle était enfant, ses « oncles », c'est-à-dire les amis de son père, ne disaient pas « arme » mais morceau ou de façon plus métonymique, feu. « J'avais mis mon feu dans le coffre à gant. » « Il s'est débarrassé de son feu. » « Oublie pas ton feu. » Dans ce poignant récit, le poète se remémore son père, le bandit devenu chrétien charismatique, l'homme violent qui ne parlait plus que de Jésus, l'homme détesté qu'on ne peut faire autrement qu'aimer, en dépit de tout. « Voici une oeuvre à marquer d'une croix, un ouvrage clé. Certainement un livre unique... » Danielle Laurin - Le Devoir « On assiste à la construction d'un écrivain à travers ses mythes fondateurs. Une mise à nue avec une humilité et une pudeur comme j'en ai rarement lu.» Jérémy Laniel - Librairie Carcajou, Rosemère - La Librairie francophone / Radio-Canada « Le Feu de mon père... est, à mes yeux... un classique instantané et peut-être même un chef-d'oeuvre. Il faut absolument [le] lire et, si ce n'est déjà fait, découvrir Michael Delisle, gigantesque écrivain québécois. » Jean Barbe - Journal de Montréal