couverture

Œil du hibou (L')

Carnets 2001-2003

Major, André

  • Éditeur : BORÉAL
  • Collection : Papiers collés
  • 236 pages
  • ISBN 9782764624708
  • Paru le 6 février 2017
  • 24,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Connu pour son regard scrutateur, sa sérénité et son goût de la solitude, le hibou représente bien l’homme, l’écrivain qui s’exprime – et se construit – dans ce livre. Un homme curieux et solidaire du monde, mais qui a besoin de se tenir à distance, observant, réfléchissant, méditant. Un écrivain pour qui la littérature est tout, mais qui a besoin de la vie la plus quotidienne et la plus concrète. Hibou de l’écriture, André Major a depuis toujours l’habitude de noter dans de petits carnets les menus événements personnels ou familiaux qui lui arrivent, les paysages humbles ou grandioses qu’il découvre au cours de ses promenades, les idées grandes et petites ou les souvenirs plus ou moins lointains qui lui traversent l’esprit comme des éclairs, et, bien sûr, ses impressions de lecture et telle ou telle phrase qui l’a frappé chez un de ses auteurs de prédilection.De cette entreprise tout à fait unique dans la littérature québécoise contemporaine sont nés jusqu’ici trois volumes couvrant les années 1975-2000, auxquels s’ajoute maintenant cet «OEil du hibou», qui reprend les carnets des années 2001 à 2003. On y retrouve la même composition vagabonde, faite de fragments tantôt frappés comme des aphorismes, tantôt développés en forme de brefs essais, la même attention au réel le plus modeste, le même amour de la nature, la même passion pour les grands maîtres de vie et d’art (de Thomas Bernhard à Pavese, de Tchékhov à Borges, de Simenon à Jacques Ferron), le même regard à la fois émerveillé et réservé sur le monde et les êtres.

Quatrième de couverture

Connu pour son regard scrutateur, sa sérénité et son goût de la solitude, le hibou représente bien l’homme, l’écrivain qui s’exprime – et se construit – dans ce livre. Un homme curieux et solidaire du monde, mais qui a besoin de se tenir à distance, observant, réfléchissant, méditant. Un écrivain pour qui la littérature est tout, mais qui a besoin de la vie la plus quotidienne et la plus concrète. Hibou de l’écriture, André Major a depuis toujours l’habitude de noter dans de petits carnets les menus événements personnels ou familiaux qui luiarrivent, les paysages humbles ou grandioses qu’il découvre au cours de ses promenades, les idées grandes et petites ou les souvenirs plus ou moins lointains qui lui traversent l’esprit comme des éclairs, et, bien sûr, ses impressions de lecture et telle ou telle phrase qui l’a frappé chez un de ses auteurs de prédilection.De cette entreprise tout à fait unique dans la littérature québécoise contemporaine sont nés jusqu’ici trois volumes couvrant les années 1975-2000, auxquels s’ajoute maintenant cet «OEil du hibou», qui reprend les carnets des années 2001 à 2003. On y retrouve la même composition vagabonde, faite de fragments tantôt frappés comme des aphorismes, tantôt développés en forme de brefs essais, la même attention au réel le plus modeste, le même amour de la nature, la même passion pour les grands maîtres de vie et d’art (de Thomas Bernhard à Pavese, de Tchékhov à Borges, de Simenon à Jacques Ferron), le même regard à la fois émerveillé et réservé sur le monde et les êtres.