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Le « pays des purs » fascine. Mais qu’en savons-nous, au juste ? Nous le regardons du ciel. D’en haut, avec des jumelles, nous nous limitons à une géopolitique désincarnée. Et nous oublions ce qui se joue sur le terrain, comment ce pays de deux cents millions d’habitants vit la guerre chez son voisin afghan, les frappes de drone sur son territoire, la radicalisation tranquille de sa campagne…Le journaliste Guillaume Lavallée propose un road-trip de la frontière afghane à la bouillonnante mégalopole Karachi pour illustrer les transformations de ce géant musulman aux pieds d’argile. Les mutations d’un peuple qui se retrouve sur la ligne de feu de cette guerre qui ne dit pas son nom, où l’armée ennemie n’est pas composée d’êtres humains, de semblables, mais de robots qui sillonnent le ciel, télécommandés depuis l’étranger, emplissant les nuits de leur bourdonnement obsédant.Psychiatres débordés par les victimes collatérales des drones, chefs tribaux ahuris, poètes pachtounes au verbe musclé, habitants des nouveaux quartiers sécurisés, jeunes désespérés qui abandonnent leur pays sur les eaux mortelles de l’espoir, gangsters de Karachi, soirées folles et secrètes d’une élite blindée… Drone de guerre raconte ce Pakistan bien réel, celui des habitants de cet autre ground zero, celui que nous ne connaissons pas.
Le « pays des purs » fascine. Mais qu’en savons-nous, au juste ? Nous le regardons du ciel. D’en haut, avec des jumelles, nous nous limitons à une géopolitique désincarnée. Et nous oublions ce qui se joue sur le terrain, comment ce pays de deux cents millions d’habitants vit la guerre chez son voisin afghan, les frappes de drone sur son territoire, la radicalisation tranquille de sa campagne…Le journaliste Guillaume Lavallée propose un road-trip de la frontière afghane à la bouillonnante mégalopole Karachi pour illustrer les transformations de ce géant musulman aux pieds d’argile. Les mutations d’un peuple qui se retrouve sur la ligne de feu de cette guerre qui ne dit pas son nom, où l’armée ennemie n’est pas composée d’êtres humains, de semblables, mais de robots qui sillonnent le ciel, télécommandés depuis l’étranger, emplissant les nuits de leur bourdonnement obsédant.Psychiatres débordés par les victimes collatérales des drones, chefs tribaux ahuris, poètes pachtounes au verbe musclé, habitants des nouveaux quartiers sécurisés, jeunes désespérés qui abandonnent leur pays sur les eaux mortelles de l’espoir, gangsters de Karachi, soirées folles et secrètes d’une élite blindée… Drone de guerre raconte ce Pakistan bien réel, celui des habitants de cet autre ground zero, celui que nous ne connaissons pas.