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Voici un cinéaste qui a conservé son indépendance mais qui ne tourne plus. Fort de vingt-sept films, dont le premier, « L’Homoman », a été tourné en 1963 avec une Bolex à ressort et de la pellicule périmée, Jean Pierre Lefebvre livre dans cet essai sa pensée sur le langage cinématographique et évoque sa pratique forcément combative du septième art. Le réalisateur « d’Il ne faut pas mourir pour ça », de « Jusqu’au cœur » et des « Maudits sauvages », s’interroge sur ce qui, des jeux de son enfance à ses films, a pu l’orienter vers un cinéma de création-invention, celui de la poésie du regard. Loin du cinéma-spectacle. Au cœur de l’acte de créer.
Voici un cinéaste qui a conservé son indépendance mais qui ne tourne plus. Fort de vingt-sept films, dont le premier, « L’Homoman », a été tourné en 1963 avec une Bolex à ressort et de la pellicule périmée, Jean Pierre Lefebvre livre dans cet essai sa pensée sur le langage cinématographique et évoque sa pratique forcément combative du septième art. Le réalisateur « d’Il ne faut pas mourir pour ça », de « Jusqu’au cœur » et des « Maudits sauvages », s’interroge sur ce qui, des jeux de son enfance à ses films, a pu l’orienter vers un cinéma de création-invention, celui de la poésie du regard. Loin du cinéma-spectacle. Au cœur de l’acte de créer.