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Le bouillant Barney Panofsky s’est toujours laissé guider par deux croyances : la vie est absurde et les humains sont incapables de se comprendre véritablement. Alors, pourquoi se priver ? Beuveries, parties de hockey et de jambes en l’air, amours impossibles… Du Paris de l’après-guerre à son Montréal natal, où il a fait fortune dans le cinéma et la télévision, Barney aura vécu intensément et sans jamais regarder derrière lui. Jusqu’au jour où son ennemi juré, un écrivain à succès, l’accusera publiquement d’être un batteur de femmes, un faux intellectuel et même un assassin. Forcé de se défendre, Barney, ivrogne et sénile, se plongera dans l’écriture de ses mémoires et son passé. Oeuvre majeure de la littérature canadienne, « Le Monde selon Barney » marque à la fois le point d’orgue et le point final de la riche carrière de Mordecai Richler. Dans ce roman déguisé en autobiographie, qui lui a valu le prix Giller en 1997 avant d’être porté au grand écran en 2010, l’auteur montréalais nous livre, avec une hargne et un humour plus dévastateurs que jamais, les confessions d’un homme au bord du gouffre, rongé par la rancœur et les remords, mais animé d’une furieuse envie de vivre.
Le bouillant Barney Panofsky s’est toujours laissé guider par deux croyances : la vie est absurde et les humains sont incapables de se comprendre véritablement. Alors, pourquoi se priver ? Beuveries, parties de hockey et de jambes en l’air, amours impossibles… Du Paris de l’après-guerre à son Montréal natal, où il a fait fortune dans le cinéma et la télévision, Barney aura vécu intensément et sans jamais regarder derrière lui. Jusqu’au jour où son ennemi juré, un écrivain à succès, l’accusera publiquement d’être un batteur de femmes, un faux intellectuel et même un assassin. Forcé de se défendre, Barney, ivrogne et sénile, se plongera dans l’écriture de ses mémoires et son passé. Oeuvre majeure de la littérature canadienne, « Le Monde selon Barney » marque à la fois le point d’orgue et le point final de la riche carrière de Mordecai Richler. Dans ce roman déguisé en autobiographie, qui lui a valu le prix Giller en 1997 avant d’être porté au grand écran en 2010, l’auteur montréalais nous livre, avec une hargne et un humour plus dévastateurs que jamais, les confessions d’un homme au bord du gouffre, rongé par la rancœur et les remords, mais animé d’une furieuse envie de vivre.