couverture

Tu écouteras ta mémoire

Cent très brefs récits

Archambault, Gilles

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Résumé

L’écrivain véritable est celui qui, un jour, a trouvé sa voix propre et ses thèmes de prédilection. Celui qui, un jour, a découvert le territoire qui allait être le sien et ne l’a plus jamais quitté, ne cessant de l’explorer en tous sens et d’en chercher inlassablement les significations, toujours fuyantes et cependant inépuisables. Ainsi en va-t-il de ce livre, dans lequel les lecteurs retrouveront l’univers, la sensibilité, le style qui font tout le charme de l’oeuvre de Gilles Archambault. Ils y goûteront de nouveau ce sens de la fragilité, cette conscience du temps évanoui, cette mélancolie mêlée d’émerveillement, cette ironie lucide et douce-amère. Mais surtout, ils découvriront dans ces « cent très brefs récits », sortes de poèmes narratifs dépouillés et concentrés à l’extrême, une autre facette de l’art de Gilles Archambault : sa maîtrise de l’ellipse, de l’allusion, du non-dit ; son habileté à suggérer des mondes et des destins à travers quelques phrases toutes simples où il s’agit, sans s’occuper de l’accessoire, de s’en tenir à l’essentiel d’une situation, d’un personnage, d’un souvenir.Une grande expérience de littérature. Une grande expérience de vie.

Quatrième de couverture

L’écrivain véritable est celui qui, un jour, a trouvé sa voix propre et ses thèmes de prédilection. Celui qui, un jour, a découvert le territoire qui allait être le sien et ne l’a plus jamais quitté, ne cessant de l’explorer en tous sens et d’en chercher inlassablement les significations, toujours fuyantes et cependant inépuisables. Ainsi en va-t-il de ce livre, dans lequel les lecteurs retrouveront l’univers, la sensibilité, le style qui font tout le charme de l’oeuvre de Gilles Archambault. Ils y goûteront de nouveau ce sens de la fragilité, cette conscience du temps évanoui, cette mélancolie mêlée d’émerveillement, cette ironie lucide et douce-amère. Mais surtout, ils découvriront dans ces « cent très brefs récits », sortes de poèmes narratifs dépouillés et concentrés à l’extrême, une autre facette de l’art de Gilles Archambault : sa maîtrise de l’ellipse, de l’allusion, du non-dit ; son habileté à suggérer des mondes et des destins à travers quelques phrases toutes simples où il s’agit, sans s’occuper de l’accessoire, de s’en tenir à l’essentiel d’une situation, d’un personnage, d’un souvenir.Une grande expérience de littérature. Une grande expérience de vie.