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Après avoir occupé divers postes dans la fonction publique, aussi bien à Québec qu’à Ottawa, David Cliche entre à l’exécutif national du Parti québécois en 1990. Il détermine d’emblée quatre dossiers majeurs qu’il faudra régler pour faire en sorte que la question autochtone ne devienne pas un obstacle à la reconnaissance du Québec comme État souverain: trouver une solution dans le dossier du projet Grande-Baleine, qui envenime le climat social et ternit l’image du Québec à l’international; rétablir l’ordre sur le territoire du Québec, la crise d’Oka et la signature d’une entente entre le juge en chef du Québec et un Mohawk masqué ayant donné une image de chaos social; faire établir par des experts internationaux le processus qui permettra au Québec de devenir un État souverain et de confirmer son intégrité territoriale; revoir le programme du PQ eu égard aux peuples autochtones dans la perspective de la souveraineté du Québec. Il consacre dès lors toute son énergie à ces quatre dossiers, lui qui sera adjoint parlementaire du premier ministre Jacques Parizeau en ce qui concerne les questions autochtones, de septembre 1994 jusqu’au référendum du 30 octobre 1995. Au passage, il raconte de savoureuses anecdotes qui font ressortir la complexité des enjeux humains qui sous-tendent ces grandes questions. Par exemple, cette scène ineffable où, à l’occasion de la mise en place d’une entente concernant les services de police sur le territoire de Kahnawake, il voit le taxi qui l’a mené sur la réserve vandalisé par des protestataires mohawks, devant les caméras de Radio-Canada et sous les yeux éplorés du chauffeur.David Cliche a fait appel à ses archives et à ses souvenirs pour écrire un livre où il déploie une réflexion de fond sur ces questions qui restent toujours aussi cruciales aujourd’hui, en même temps qu’il nous livre un témoignage humain des plus émouvants.
Après avoir occupé divers postes dans la fonction publique, aussi bien à Québec qu’à Ottawa, David Cliche entre à l’exécutif national du Parti québécois en 1990. Il détermine d’emblée quatre dossiers majeurs qu’il faudra régler pour faire en sorte que la question autochtone ne devienne pas un obstacle à la reconnaissance du Québec comme État souverain: trouver une solution dans le dossier du projet Grande-Baleine, qui envenime le climat social et ternit l’image du Québec à l’international; rétablir l’ordre sur le territoire du Québec, la crise d’Oka et la signature d’une entente entre le juge en chef du Québec et un Mohawk masqué ayant donné une image de chaos social; faire établir par des experts internationaux le processus qui permettra au Québec de devenir un État souverain et de confirmer son intégrité territoriale; revoir le programme du PQ eu égard aux peuples autochtones dans la perspective de la souveraineté du Québec. Il consacre dès lors toute son énergie à ces quatre dossiers, lui qui sera adjoint parlementaire du premier ministre Jacques Parizeau en ce qui concerne les questions autochtones, de septembre 1994 jusqu’au référendum du 30 octobre 1995. Au passage, il raconte de savoureuses anecdotes qui font ressortir la complexité des enjeux humains qui sous-tendent ces grandes questions. Par exemple, cette scène ineffable où, à l’occasion de la mise en place d’une entente concernant les services de police sur le territoire de Kahnawake, il voit le taxi qui l’a mené sur la réserve vandalisé par des protestataires mohawks, devant les caméras de Radio-Canada et sous les yeux éplorés du chauffeur.David Cliche a fait appel à ses archives et à ses souvenirs pour écrire un livre où il déploie une réflexion de fond sur ces questions qui restent toujours aussi cruciales aujourd’hui, en même temps qu’il nous livre un témoignage humain des plus émouvants.